Toi, revenus de Berlin.

Mon premier est le premier regard que j’ai eu pour toi.

Le suivant ce trouve là où tu as trouvé aujourd’hui ta place.

Mon dernier… non, avec l’espoir qu’il n’y est jamais de dernier.

Mon tout est tout l’amour que j’ai pour toi.

Je ne veux rien changer. Juste t’écrire, te dire, tous les mots que tu mérites d’entendre et de lire.

Tu veux rester avec moi le matin. Tu me serres simplement dans tes bras quand je dors. Il m’est arrivé d’attendre des heures, juste pour passer un peu de temps seule avec toi. Je n’aurai jamais cru que l’on m’aimerait comme tu le fait. Ça c’était le rêve de quelqu’un d’autre.

Je ne pourrais plus me passer de ce regard, que tu m’offre, de ces mains qui me touche, de ce sourire qui t’illumine. Tu fais de moi une jeune femme tellement heureuse… j’avais ni besoin d’amour, de tendresse ou encore d’eau fraiche. J’avais juste besoin de toi. Qui me parle sans mots. Qui me manque sans trop. C’est toi qui me rend heureuse. C’est moi qui te trouve si beau.

    Détails

  • Métrobà Jeanne d'Arc.
  • Une rencontre faite le 25 février 2014.
  • Rédigé par une femme pour un homme.
  • Publié le mardi 25 février.